La terre aux mille lacs

• Ils ont relevé dans le texte toutes les expressions qui indiquaient que le froid était intense.
  
• Ils ont rempli le tableau, on en a discuté.
  
• Ils ont écrit le récit de Conrad à son fils, au passé composé qui pouvait commencer par
  "Mon fils, viens t'asseoir à côté de moi. Je vais te raconter une histoire. Il y a longtemps de cela..." (sur l'idée d'un élève) Voici le texte d'une élève, cliquez ici.

• Ils ont fait l'exercice suivant (sans le livre bien sûr):

Conjugue ce texte au passé, en employant le passé simple et l’imparfait. Relis-toi pour vérifier que ce que tu as écrit a du sens.

 Ainsi Conrad (rester) deux jours dans le trou d’eau sulfurée. Aux premières heures de ce bain singulier, il (penser) à risquer le tout pour le tout, s’enfuir et retrouver les effets laissés à un kilomètre de là. Mais c’(être) risqué. Puis il (s’enfoncer) dans une sorte de morose résignation. Il (mouiller) son visage qui (geler) presque instantanément, puis il le (remouiller). La journée (passer), puis la nuit, puis une autre journée, et encore une nuit. Au matin du troisième jour, le bison (revenir). De longs poils (pendre) le long du garrot, du poitrail et de la gorge. L’énorme bête (planter) ses sabots à deux mètres du rebord du trou et (pencher) son mufle vers l’homme.

Les discussions ont été intéressantes, notamment sur le choix du temps dans la phrase "Il mouillait son visage qui gelait...". L'imparfait montrant la répétition...