Après lecture de Jeanne d'Arc et du chapitre 5 à la maison
Je leur ai proposé le texte de Jeanne d'Arc dans lequel j'avais retiré quelques mots :
Tu vas compléter le texte puis tu vas deviner s’il s’agit d’un narrateur ou d’une narratrice en justifiant ta réponse. Ensuite, tu vas préciser qui est cette personne et où elle habite.
Finalement, j’aime bien habiter ici. J’ai mis des fleurs sur l’appui de
ma ………………………. . Des géraniums. Ça me
rappelle la …………………………….. .
Au début, j’étais persuadée que je m’ennuierais en ville et que
j’étoufferais aussi. Et puis, finalement,
………………….. . Il faut dire que cette
………………………… est sympa. De là, j’ai
la vue sur les toits. Et la rue est très
………………………… Pas aussi calme qu’à la
maison, bien sûr. Mais quand même.
Quand les cours sont
………………………………., je vais marcher
au bord du ……………………...
J’écoute l’eau qui vient se cogner contre les digues, le vent jouer dans les
feuilles et les ………………………………
chanter. Je marche longtemps. Puis je …………………….
ici et je me mets à la fenêtre. C’est l’heure où les retardataires viennent
chercher leur …………………. à la boulangerie. Chacun rentre
chez soi.
A sept heures, la petite vieille du …………………….
ferme ses ………………………. . Juste après, la
gamine sort de l’immeuble d’en ………………….. et
s’en va en sautillant sur le
……………………...d’en face. C’est réglé
comme du papier à musique.
Après, comme par magie, tout se calme. Les ………………….
s’allument. Les gens s’installent pour souper. Souvent la
………………………………. est branchée.
Comme il fait beau, les ………………. sont ouvertes et
j’entends la musique des pubs. Ça ne me dérange pas. J’allume ma lampe moi
aussi : c’est l’heure où je commence à travailler.
C’est drôle ce quartier c’est comme un
………………………………….
J’ai remis un passage au présent, à toi de le remettre au passé simple/imparfait.
Elle ouvre tout doucement la porte de sa chambre. Dans la maison, il n’y a
aucun bruit. N’osant allumer de peur de réveiller sa sœur qui dort la porte de
sa chambre ouverte, elle se lance dans la longue traversée du couloir, puis de la salle
à manger, avant de parvenir enfin à la cuisine.
A travers la fenêtre, la lune pose de larges taches blanches sur le carrelage. Dehors, un
chat crie. Un autre, lui répond, très loin. Elle frissonne et regrette de ne pas avoir
mis ses chaussons. Dans l’obscurité et le silence, elle a l’impression de ne
plus reconnaître la maison.
Elle tire doucement vers elle le tiroir du buffet…
Elle trouve enfin ce qu’elle cherche, repousse le tiroir et regagne sans bruit
l’abri de sa chambre où elle retrouve avec plaisir la douce lumière jaune de sa
petite lampe...