Nous avons rencontré l'auteur de romans pour la jeunesse, Jean-Claude Mourlevat. Notre auteur préféré est venu à la bibliothèque de Rouillé, notre petit village.

Pourquoi est-il venu ici ?
Tout simplement parce qu'il était invité au 4ème salon du livre de Lusignan, et notre maîtresse, l'a invité pour que nous puissions avoir une conversation avec lui, et aussi pour savoir plus de choses sur ses oeuvres. Car nous avons lu ses livres et on les a beaucoup aimés. Voici quelques passages de notre interview :

Pourquoi "A comme voleur " et '' L' enfant océan " n' ont-ils pas de fin ?

Il nous a répondu que Yann de "L'enfant océan" est reparti dans l'univers des contes.
Quant à "A comme voleur", pour lui c'est une belle image de fin qu'Arthur ait le ballon dans les mains. On se doute qu'Arthur va rester au Brésil avec Hamilton et Iracema.

Savez-vous combien de livres de "l'enfant océan" ont été vendus ?

Il nous a répondu qu'il y en a 100 par jour, en moyenne.

Inventez-vous des histoires ou sont-elles vraies ?

Je les invente. L'enfant océan me rappelle une histoire douloureuse et c'est avec mes souvenirs personnels que j'ai inventé "L'enfant océan."

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Avant qu'on lui pose des questions,nous lui avons montré et lu ce que nous avions fait à partir de ses oeuvres. Nous lui avons montré les différentes suites de son conte "l'enfant et l'oeuf" que nous avions écrites avec les élèves de CE 1. Et nous lui avons lu les témoignages que nous avions écrits sur les enfants Doutreleau : le témoignage de Tom Duval, 32 ans, prof de maths ; celui de Joachim Nouba, 13 ans, collégien ; celui de Marcel Ridot, 15 ans, collégien ; et celui de Max Kadibouc, 42 ans, prof de maths.

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J'ai vraiment bien aimé cette journée, avec cet auteur très sympathique. J'ai eu très peur de lui lire un texte, mais dès que j'ai lu la première phrase, je n'ai plus eu peur du tout. Je croyais que l'auteur était plus vieux, avec une barbe blanche et grise.(Léa).

Quand j'ai lu un récit inventé par mon groupe, j'avais peur ,une sacrée trouille même. C'est quand même pô tous les jours qu'on rencontre un écrivain aussi sympa... (Franck)

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